Quatre atouts à votre service
Le parcours professionnel qu’il m’a été donné de rappeler de façon détaillée dans les pages qui précèdent m’aura permis d’acquérir ou de développer différentes expertises utiles à mon actuel métier d’écrivain public. Quatre d’entre elles méritent tout particulièrement d’être mises en valeur ici, dans la mesure où elles constituent d’authentiques atouts dont il ne tient qu’à vous de bénéficier, via mes différentes prestations.
Une maîtrise confirmée de l’écrit sous toutes ses expressions
Né de parents tous deux historiens (de fait, comme spécialiste de l’Antiquité grecque, mon père a été le premier Suisse à être élu au célèbre Collège de France), je trouve assurément dans l’enfance et l’adolescence, baignées de littérature classique, une bonne partie de mon goût pour l’écrit. Mes études littéraires (latin + langue vivantes) et mon goût de la lecture auront constitué, à ce titre, une confirmation.
Ma vie professionnelle a fait le reste ; car s’il est admis que mes métiers ont été nombreux et variés à ce jour, il reste qu’ils auront tous eu en commun de faire une place essentielle à l’expression écrite, sous plusieurs de ses formes. L‘avocat a ainsi appris l’art des courriers officiels et des conclusions en justice ; le chercheur, celui des articles scientifiques et des recensions (= résumés critiques) d’ouvrages ; le consultant, celui des offres attrayantes et des rapports adressés aux autorités publiques ; le coordinateur de politiques communales, enfin, celui de la communication à destination des divers publics, y compris les plus pointus (jeunes, seniors, étrangers…).
Sur un front plus militant, par ailleurs, j’ai initié et animé plusieurs revues et newsletters.
Une connaissance actualisée du droit et des formes qu’il appelle
Quand bien même toutes mes fonctions, au cours de ces 20 dernières années, n’ont pas été systématiquement celles d’un juriste, il reste que ce statut aura marqué l’ensemble de ma carrière.
Tout en m’ayant évidemment apporté beaucoup, le volet suisse de cette activité (avocat, rédacteur attaché à divers tribunaux, assistant en droit et procédure pénale…) se trouve aujourd’hui un peu éclipsé par l’actualisation « spatio-temporelle » que j’ai faite de mes connaissances au cours de cette dernière année académique 2014-2015, avec la reprise d’études, en équivalence, à l’Université Libre de Bruxelles.
Le master en droit, finalité « droit public » (mention « avec satisfaction »), que je viens d’ obtenir au terme de cette année de ré-immersion vous offre la garantie de ma bonne connaissance des arcanes de la société belge ainsi que de la manière dont sont réglementées les principales relations administratives et économiques qui la caractérisent.
Au-delà de cette précieuse mise à niveau, ce nouveau titre m’a donné les moyens d’accéder rapidement aux informations que je n’aurais pas immédiatement en tête, via la maîtrise que j’ai acquise à cette occasion des différents outils de recherche mis à disposition des juristes de l’ULB.
Une sensibilité et une expertise en gestion des conflits
Mon engagement en faveur de la médiation date de 1996, époque à laquelle j’ai commencé à m’intéresser fortement à la médiation pénale, en tant qu’alternative à la justice répressive traditionnelle.
Convaincu de l’extrême pertinence de ce mode de gestion des conflits, j’ai été à l’initiative d’une fédération des personnes qui croyaient en elle, via la fondation de l’Association MédiaNE, dont j’ai pris la présidence. Ce projet a conduit à l’ouverture, en 2000, d’une Maison Neuchâteloise de la Médiation, toujours bien vivante aujourd’hui.
Sur base de cette expérience associative, notamment, j’ai publié de nombreux articles scientifiques (en Suisse, en France et en Belgique) sur les thèmes de la médiation pénale, de la justice de proximité et de la justice réparatrice. J’ai par ailleurs, fait partie de la première promotion du master européen en médiation, mis sur pied par l’Institut Universitaire Kurt BOESCH, en partenariat avec une dizaine de prestigieuses Universités européennes (dont l’UCL et la KUL).
Depuis lors, j’ai donné de nombreuses formations à la gestion des conflits, notamment à des policiers en provenance de divers pays.
Un goût certain, enfin, pour le graphisme et la mise en page
C’est là un trait de caractère que j’ai acquis depuis longtemps : l’apparence finale d’un texte sur lequel je planche a tant d’importance pour moi que je ne peux travailler efficacement à sa rédaction (de fond) que si j’ai une intuition déjà relativement claire de ce que sera sa mise en page (sa forme, donc) définitive !
Cela explique je mette toujours un grand soin à la configuration graphique de mes productions, du moins quand cet aspect relève de ma (seule) compétence.
Mes outils d’expression en la matière sont variés, depuis une maîtrise approfondie de Word ou de PowerPoint, jusqu’à une utilisation de logiciels plus pointus, comme Publisher, Photoshop ou InDesign.
J’ai par ailleurs eu l’occasion de réaliser de nombreux sites web (dont celui que vous visitez actuellement, évidemment), en application de la technologie WordPress.
Je m’efforce d’adapter mes travaux de mise en page en fonction des attentes de mes clients et de la destination de leurs commandes, étant entendu que mon maître mot reste la mise en valeur du propos, évidemment, et sa compréhension par le plus grand nombre.